La suite de la partie 6/7 et la fin.
南蛮寺のパアドレ・オルガンティノは、――いや、オルガンティノに限った事ではない。悠々とアビトの裾を引いた、鼻の高い紅毛人は、黄昏の光の漂った、架空の月桂や薔薇の中から、一双の屏風へ帰って行った。南蛮船入津の図を描いた、三世紀以前の古屏風へ。
(あおぞら文庫:https://www.aozora.gr.jp/cards/000879/files/68_15177.html)
Padre Organtino du temple Nanban, – non, ce n’est pas seulement lui. Trainant tranquillement le bout de son vêtement sacerdotal, les occidentaux aux cheveux roux et au nez haut, depuis les lauriers et les roses imaginaires flottant à la lumière crépusculaire, étaient rentrés dans une pair de paravents ; à l’intérieur des vieux paravents datant d’il y a trois cents ans, qui représentaient une scène de l’arrivée d’un navire Nanban au port (n. 25).
Note 25.
Il s’agit des paravents Nanban (barbares du sud), qui représentent des scènes de vie des commerçants occidentaux et des missionnaires en provenance d’Europe et généralement du Portugal.
En principe, ces paravents vont par paire, chacun ayant six panneaux. Entourées par le cadre de laque noire, les peintures sont réalisées en couleurs sur des feuilles de papier recouvertes de feuilles d’or.


さようなら。パアドレ・オルガンティノ! 君は今君の仲間と、日本の海辺を歩きながら、金泥の霞に旗を挙げた、大きい南蛮船を眺めている。泥烏須が勝つか、大日
貴が勝つか――それはまだ現在でも、容易に断定は出来ないかも知れない。が、やがては我々の事業が、断定を与うべき問題である。君はその過去の海辺から、静かに我々を見てい給え。たとい君は同じ屏風の、犬を曳いた甲比丹や、日傘をさしかけた黒ん坊の子供と、忘却の眠に沈んでいても、新たに水平へ現れた、我々の黒船の石火矢の音は、必ず古めかしい君等の夢を破る時があるに違いない。それまでは、――さようなら。パアドレ・オルガンティノ! さようなら。南蛮寺のウルガン伴天連!
Adieu, Padre Organtino ! (n. 26) En marchant avec tes collègues au bord de la mer, tu regardes un grand navire de Nanban, arborant des drapeaux levés dans les brumes dorées. Que ce soit Deus ou Oo-Hirumé-Muchi qui vaincra, – à présent, on ne saurait pas encore en décider facilement. C’est la question à laquelle nos affaires devront apporter un jour une réponse définitive. Regarde-nous sereinement depuis cette rive du passé. Si tu était plongé au fond de l’oubli, tout comme les capitaines hollandais avec leurs chiens ou des enfants noirs sous leurs parasols, les bruits des canons à feu tirès de notre navire noire briserons un jour votre vieux rêve. Jusque là, … Adieu, Padre Organtino ! Adieu, Urugan-batéren (n. 27) du temple Nanban !
Note 26 :
À partir de cet appel, c’est le narrateur qui s’adresse directement à Organtino.
Qui est ce narrateur ?
Il pourrait être un missionnaire qui est venu au Japon sur un bateau noir, comme Matthew Perry, officier de marine américain, trois cents ans après Padre Organtino.
Note 27 :
Urugan-batéren est une manière japonaise, bien déformée, de prononcer Padre Organtino.
La dernière partie révèle après coup que toutes les scènes précédentes sont des visions imaginées par le narrateur qui se trouve devant un paravent Nanban, également imaginaire, où la figure d’Organtino est peinte.
Le thème de la nouvelle est clairement exprimée par le vieillard, selon qui, « notre force ne consiste pas en celle de détruire, c’est la force de transformer. »
Cette théorie peut expliciter la nature fondamentale de la civilisation du Japon.