ボードレールは、もう一人の寡婦について語り始める。
彼女は、「私」が後を付けた寡婦と同じように、公園で催される公共の音楽会に立ち会っている。しかし、今度は音楽自体の力が問題になるのではなく、音楽会を通して二つの社会階級が浮き彫りにされ、その中で彼女のいる位置が考察の対象になる。
(朗読は3分32秒から)
Une autre encore :
Je ne puis jamais m’empêcher de jeter un regard, sinon universellement sympathique, au moins curieux, sur la foule de parias qui se pressent autour de l’enceinte d’un concert public. L’orchestre jette à travers la nuit des chants de fête, de triomphe ou de volupté. Les robes traînent en miroitant ; les regards se croisent ; les oisifs, fatigués de n’avoir rien fait, se dandinent, feignant de déguster indolemment la musique. Ici rien que de riche, d’heureux ; rien qui ne respire et n’inspire l’insouciance et le plaisir de se laisser vivre ; rien, excepté l’aspect de cette tourbe qui s’appuie là-bas sur la barrière extérieure, attrapant gratis, au gré du vent, un lambeau de musique, et regardant l’étincelante fournaise intérieure.